Le point commun à toute l’Équipe Oh My Cream ? Un sérieux penchant pour la gourmandise.
Si une petite souris se glissait dans nos bureaux, le vendredi notamment, elle pourrait noter les penchants de chacune pour les bagels, les pizzas, les burgers… et les sucreries. (Promis, on ne citera pas de nom !) Or, on sait qu’une bonne routine de soins ne fait pas tout. L’associer à une alimentation équilibrée est essentiel pour garder une jolie peau. Mais quelles sont ces mauvaises habitudes alimentaires qui ruinent vos/nos efforts beauté ?

L'excès de sucre

Ennemi juré de la taille fine, le sucre en excès fait aussi des carnages sur la peau. Absorbé en excès, il provoque des réactions inflammatoires en interne, notamment en se fixant sur les fibres de collagène et en les “caramélisant”. Cette réaction chimique appelée “glycation” entraîne une rigidification des fibres de collagène, mettant ainsi à mal la fermeté et la densité cutanée et accélérant le processus de vieillissement cutané.

On le remplace par : du miel, du sirop d’érable, du sucre de coco… On ne s’interdit pas les douceurs, mais on zappe vraiment le sucre blanc.

 

L'overdose de graisse

Ici, les problèmes cutanés apparaissent quand les intestins peinent à éliminer les toxines. Il est important d’en prendre soin car ce sont eux qui absorbent les nutriments et éliminent les déchets : des mécanismes qui sont boostés par une bonne alimentation et ont des effets sur la peau. Manger mal réduit l’absorption de bons nutriments et entrave le processus d’élimination des toxines (car elles sont plus nombreuses et notre organisme peut vite être “débordé”). Une alimentation trop grasse chamboule donc le travail d’épuration du système digestif et c’est notre épiderme qui en subit les conséquences, avec à la clé teint terne, pores apparents et brillances.

Le verre (d’alcool) de trop

Les effets antioxydants du vin sont depuis longtemps prouvés… mais, il n’en reste pas moins que l’alcool est la molécule championne pour entrainer une dilatation des vaisseaux sanguins. C’est la raison pour laquelle certaines peaux sensibles réagissent dès le premier verre. Trop répétée, cette gymnastique fait souffrir les vaisseaux fragiles et provoque des rougeurs localisées, voire de la couperose.

La panne d’hydratation

Certes, l’épiderme est le dernier organe à bénéficier de l’apport en eau absorbée durant la journée. Mais, comme l’organisme est composé de 60 à 70% d’eau et que tout est une question d’équilibre, une bonne hydratation va tout de même permettre de garder une peau souple et lumineuse. Sans compter l’apport en minéraux et en oligo-éléments, bénéfiques dans bien des réactions biologiques cutanées. On essaye aussi de limiter sa consommation de café et/ou de thé, qui, même s’ils sont riches en bons antioxydants, ont tout de même une action diurétique et donc empêchent à la longue le corps de retenir l’eau. Sans compter que la caféine (tout comme la théine, qui sont en fait 2 mots différents pour désigner la même molécule) sont des excitants qui, en bloquant le processus d’endormissement, freinent aussi les étapes de détox cutanées qui ont lieu pendant la nuit.

Le gluten en abondance

En alimentation, plus que nul part ailleurs, l’équilibre et la gestion des excès restent la clé. Sans tomber dans un régime sans gluten ni dans la diabolisation de ces petites protéines, il est vrai qu’une alimentation riche en gluten (qui en plus est de mauvaise qualité) favorise la rosacée et les inflammations en général, avec à la clé, multiplication des taches pigmentaires et des sensibilités.

L’orgie de lactose

Dans la même famille des molécules à surveiller se trouve aussi le lactose. Là encore, la qualité du lait joue beaucoup (un lait certifié biologique sera toujours de meilleure facture pour la peau et ses bénéfices nutritionnels seront plus nombreux.) Il est prouvé qu’une alimentation un peu plus light en lactose permet de diminuer l’apparition des boutons hormonaux, des inflammations cutanées, mais aussi des cernes et des poches.